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En 2017 la désinvolture du voisin au-dessus de mon appartement qui ne cesse de me harceler chaque fois que je mets un pied sur mon balcon,
me pousse à agir. Je ne vais pas resté passif devant sa vulgarité et son manque de respect quotidien.
Je décide d’aller trouver un avocat et de présenter les faits. Le même avocat qui a dû restituer le solde en faveur du vendeur, voir en page 2.
Il s’agit d’une étude de deux avocats X & Partners.
Assis dans la salle d’attente, je remarque qu’un des avocats me tourne le dos continuellement.
Il va se balader sur le même étage en « open space » vitré pour aller chatter avec les demoiselles de la « Mobilière » sur le même étage.
Je trouve plutôt bizarre car les avocats sont toujours très dynamiques, pressés et stressés.
On dirait que celui-ci ne sait que faire de son temps. Il va draguer les filles sur l’étage.
Par la suite en y réfléchissant je trouve la réponse à mon domicile.
En contrôlant les « black liste » je constate que le premier des avocat-notaire S (celui qui tourne en rond), s’est vu retirer sa patente.
Il n’a plus le droit d’exercer, et il rase les murs dans sa propre étude.
Son confrère FW, vient enfin me chercher pour me conduire à son bureau.
Je lui porte les photos des nombreux méfaits de MB. Salissures quotidiennes jetées sur mon balcon.
Construction sur la façade d’une petite grue, une sorte de monte-charge privé. Son utilisation cause des vibrations bruyantes dans les murs.
Les chargements frottes contre la balustrade des balcons depuis le perron jusqu’au 4ème étage.
En retirant une bibliothèque, je découvre une fissure de deux mètres se situant exactement sous l’emplacement du monte-charge.
Côté sud, hors de son balcon il parque une échelle au-dessus de ma tête entre une poutre de toit et son balcon.
Probablement que les innombrables crasses commises volontairement par MB a pour but de me faire partir en me décourageant.

Les articles 712 et la police des constructions. décrivent qu’après la construction de l’immeuble aucune modification n’est autorisée sur les façades.
Nouvelles fenêtres, lucarnes, percements et trous sur la façades sont interdits.

L’avocat FW établi une lettre destinée à l’administrateur. Il donne l’ordre du démontage de la grue fixée sur la façade nord, un mur porteur.

L’avocat ordonne également le retrait de son échelle dépassant les limites du balcon de MB et d’assurer le déneigement pour tous les copropriétaires.

Mais l'administrateur ne répondra pas à la lettre et travail comme absent de ses propres responsabilité.

Pour m'assister lors de la prochaine assemblée, un avocat venu de la Berne fédérale donnera 10 jours de délais
pour démonter le monte-charge privé et pour retirer l'échelle.

À Eischoll je prends le télésiège puis le telesky jusqu’au sommet à Erez.
Je fais une descente jusqu’à Strigge et je m'arrète au restaurant d’alpage Egga.
Entre les tables de la terrasse tout le monde me connait, ils sont tous d’Eischoll, mais personne ne me salue.
Sauf deux personnes qui m’invitent à leur table. Ce sont des vaudois qui ont hérité de leur grand-mère d'un petit chalet non loin d’où j’habite.
Je me détends de ma descente et on discute agréablement au soleil.
Pas très marrant cette ambiance crispée des valaisans.

Heureusement, mon fils, ma belle-fille et ses enfants sont à Anzers.
Un collègue lui prête son appartement. On se retrouvera plusieurs années de suite pour quelques bonnes fondues.
Mes petits enfants entre 3 et 5 ans apprennent à skier dans « la Cuvette » à l’arrivée du télécabine.
On passe tour à tour pour les accompagner avec les moniteurs.
Entre les cours des groupes d’enfants s’amusent dans la neige..
Un jour c’est la stupéfaction.
Une maman valaisanne vient retirer son enfant du groupe en lui disant, ne joue pas avec ce garçon !
Il n’est pas de chez nous !!!
C'est mon petit fils. Il a le teint légèrement basané.  
Sous-directeur dans une banque mon fils me raconte l’anecdote.
Les valaisans ne cessent de me décevoir.
Je comprends peu à peu que ce n'est pas seulement à Eischoll.
Partout en Valais l'on a affaire à des gens bloqués reclus dans des cercles familiaux.
Une fois de plus les Malaisans sont partout
    
       Anzers , la Cuvette
   
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2018
       Veysonnaz le village maudit

Pour se rendre à Anzers, la route passe par Veysonnaz, le village maudit.
Ce village me rappelle l’histoire fortement médiatisée du « petit Luca ».
Un gamin de 7 ans tabassé « à mort » par la jalousie de quelques villageois.
En arrêt cardiaque et hypothermie sévère il est resté dans le coma. Il  en est ressorti paraplégique.
En 2018 le père écrit son livre sur « l’affaire du petit Luca ».
Le père de nationalité italienne sort toutes les vérités pour rompre les rumeurs, l’imagination médiatique et le flou juridique.
Je vous conseils vivement de vous procurer le livre de Nicola Mongelli aux éditions Slatkin.
La première phrase après la préface commence par :
Tina et moi sommes habitués, depuis notre installations en Valais,
à être l’objet de toutes sortes de méchancetés, notamment depuis l’ouverture de notre restaurant, …   
En bref, le petit italien Luca à 7 ans. Il bat les records des juniors en compétition de ski. Il est premier sur ses skis.
Le maire de Veysonnaz va annoncer les résultats. Les villageois se précipite et la famille de Luca aussi pour entendre le résultat.
Mais le maire n’annoncera pas Luca Mongelli, il citera tous les valaisans en premier.
Le maire fini termine sa liste en disant : « premier européen, Luca » !
Plus tard un groupe avec un adulte présent, attire Luca avec son petit frère et le chien pour aller s’amuser un peu plus loin.
C’est alors que les vêtements de Luca lui seront ôtés. Dénudé dans la neige, et fouetté dans le dos à l’aide de branchages, puis sodomisé par un objet.
  
La justice valaisanne a suspecté le chien d’être l’agresseur bien que les spécialiste en comportement animal on disculpé son chien Rocky.
L'animal plus humain que les hommes en à payé de sa vie.
J'ai lu quelque part que de piquer les chiens trop souvent pour un oui pour un non, le 10 pourcent des vétérinaire se suicident.
Depuis la parution de ce livre, le problème est désormais le suivant pour la justice valaisanne :
les vêtements de Luca ont été retrouvé pliés à côté de lui et que
un chien ne peut pas dévêtir un humain.
L’affaire n’est pas close.
À mon sens le maire mérite quelques jours amende ou d’emprisonnement pour ses propos xénophobe en publique.

                                                                           
           livre de Nicola Mongelli, père de Luca aux éditions Slatkin.                         Deux grands amis inséparables