


Départ de la piste Erez-Strigge.
Plus bas,
Obri Eischoll Alp sous la neige.
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L’informaticien Ulrich ma remis des noms de sites (URL) du Haut Valais très intéressants.
C’est ainsi que j’ai appris que la patente de l’avocat-notaire qui a émis mon contrat d’achat nommé « de vente » lui a été retirée.
Pour être convaincu de la véracité de cette information sur le net, je lui ai envoyé une question piège par lettre.
Du style : « c’est peut-être pour des raisons politiques que j’ai appris le retrait de votre patente. Mais vous connaissez mieux le dossier,
pourriez-vous me conseiller et intervenir pour moi contre l’administrateur ? ».
Il m’a répondu texto « je ne peux accepter aucun mandat ».
Voilà une belle prise qui va me servir de preuve contre le notaire qui n’a pas réglé les soldes durant la transaction, qui n’a pas pris les contacts nécessaires avec l’administrateur de la PPE et le vendeur, qui a menti sur les rénovations totale de l’immeuble estimées à un montant d’un-demi-million, et qui m'a grugé
d’un montant effectif de Fr.63'000.- selon ma quote-part de 126 °/°°.
Les actions juridiques contre le notaire seront développées dans les pages suivantes.
J’apprendrai notamment par téléphone de la part d’un responsable du bureau de l’intégration DSIS que ce notaire à raté quatre fois son diplôme.
Affaire à suivre...
« Nume hass für wer nicht walliser isch »
Que de la haine contre quiconque n’est pas Valaisans. Les autres (suisses aussi) ne sont pas Valaisans.
Il a neigé, et je dois sortir. L’administrateur est chargé d’organiser le déneigement.
MB qui assume le poste de conciergerie est responsable du déneigement. Il a bien déneigé la place de CF et celle d’une personne de sa parenté RB.
Pour ne pas jeter la neige sur la route, je marche 40 mètres pour verser la neige sur une parcelle de la commune.
Pendant que je prends la pelle pour déblayer ma place, je l’aperçois au balcon. Je le rends attentif de son travail.
MB descend faire une démonstration de force, tandis que sa femme me jette de la neige depuis son balcon.
Il neige à gros flocon. Il descend les quatre étages et arrive sur le perron sans sa chemise, juste une camisole.
Il roule les mécaniques, et commence un discours autoritaire. Il commence son speach :
« Je suis en bonne santé, toi tu n’es pas en bonne santé. Tu ne peux pas t’intégrer avec nous, ... ».
Comme on sentait le ton monter, les voisins d’en face commençaient à guigner derrière la vitre.
Il ajouta encore qu’il était propriétaire depuis 1983. Puis il prit son balai pour me lancer de la neige depuis le perron.
Pour stopper son discours, je lui ai répondu qu'il n'est pas le chef seulement propriétaire.
Que je paie son salaire, que ce n’était pas mon travail pour raisons de santé.
Finalement, que je pourrais déduire une partie de son salaire.
Pour se tirer d'affaire, il donna un coup de balais sur le perron, en lachant un P’FFF'ttte, et il remonta les escaliers.
Choqué de cette provocation à caractère discriminatoire (une forme de racisme) «Tu ne peux pas t’intégrer avec nous »,
j’ai ensuite écrit un email aux copropriétaires pour qu’ils s’expriment.
Un seul copropriétaire qui est conseillé communal dans un autre village a réprimendé quelque peu cet acte
avec quelques commentaires adressé à l'épouse qui remplace MB aux assemblée.
Mais les intimidations, agressions, continuent.
J’attends la visite de ma petite famille, mon fils, sa femme et mes petits enfants qui sont en vacances de neige à Anzers, pour jeudi.
Je demande au concierge MB s’il peut déneiger la place « visiteurs » pour jeudi. Il pousse un « mhhhhe… » ni oui ni non !
Le mercredi soir rien de fait, je commence à déblayer la place. C’est alors qu’il se précipite sur moi avec une autre pelle, en criant :
« ne met jamais un doigt dans mon travail ». Un voisin qui avait compris ce qui allait se passer, empêcha MB de me flanquer la pelle sur la tête.
Je suis rentré dans ma voiture pour me protéger et saisir ma gazeuse.
J’ai préféré descendre à Viège pour me calmer.
En démarrant il gesticulait comme pour dire va-t’en, fiche le camp !
Plus tard en été j’arrive en voiture devant mon garage, et je vois MB qui m'attendait assis sur le perron, une barre de fer à la main frappant la marche d’escalier.
Je rentre la voiture au garage. Je saisis un pied de micro et pour l’intimider je commence à frapper le sol en béton.
Puis quelqu’un passe derrière lui pour essayer de le raisonner. Comme il a déjà consommé une dizaine de cannettes, il va bientôt monter faire dodo.
Je préfère descendre à Viège manger un Mac-Do pour être certain qu’il est complétement éteint.
Le lendemain, j’écrirai une lettre afin de témoigner ces agressions à l’avocat.
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